FRACTURE DE LA DIAPHYSE FEMORALE
FRACTURE DE LA DIAPHYSE FEMORALE
Généralités - Définition :
Généralités :
Témoignant d’un traumatisme toujours sévère, les fractures de la diaphyse fémorale ont acquis ces dernières années la réputation d’une certaine bénignité.
Le traitement chirurgical systématique permet le plus souvent une consolidation avec de bons axes et un minimum de séquelles.
La discussion porte essentiellement à présent sur les modalités du traitement chirurgical ; Les tenants de l’enclouage percutané avec alésage et les partisans de l’ostéosynthèse par plaque s’opposent.
Def : les fractures de la diaphyse fémorale siègent entre :
En haut la région du petit trochanter
En bas la région immédiatement supra condylienne située a 5cm de l’interligne articulaire du genou.
Facteurs étiologiques :
Fréquence : très forte atteinte des sujets à sexe masculin
Age : il s’agit d’une fracture du sujet jeune puisque la 1/2 des blessés ont moins de 30 ans et le 1/4 moins 20ans.
Circonstances : un traumatisme violent et appuyé est nécessaire pour entrainer une telle lésion ce qui explique la fréquence des lésions associées, il peut s’agir :
Accident de voiture,
Piéton fauché par une voiture,
Accident des deux roues
Accidents domestiques : plus fréquents chez les sujets âgés > 70 ans.
Arme à feu
Côté : dans les pays ou la circulation se fait à droite le côté gauche sans protection est le plus souvent lésé.
Anapath :
Trait simple : le plus fréquent
La fracture transversale ou oblique courte : (2/3 des cas)
Liée à un choc direct ou indirect par compression axiale réalisant une flexion forcée de la diaphyse fémorale.
Surtout chez l’homme et à la suite d’un AVP.
La fracture spiroïde : plus rare, due a un mécanisme indirect par torsion surtout chez le sujet âgé au squelette porotique. (siège distal + + +)
Fracture complexe : au trait de fracture peut s’associer
Soit une comminution mineure
Soit un 3ème fragment, il peut être :
Postéro interne : nécessite alors une reposition exacte sans dépériostage ou un comblement osseux pour le remplacer afin d’éviter une détérioration secondaire de l’ostéosynthèse.
Antéro-interne éxposé a la nécrose lors de l’ostéosynthèse par plaque vissé.
Fractures comminutives : caractérisées par une comminution + ou - étendue sur un segment fémoral.
Fractures bifocales : elles peuvent être
Simples
Complexes : le fragment intermédiaire est refondu
Multi-fragmentaires : d’étendue variable
Clinique : le dg clinique des fractures du fémur ne pose que peu de problème
Interrogatoire : précise :
Les circonstances de survenues de l’accident : recherche la violence du traumatisme
Le siège de la douleur
Le dg est évident dès la simple inspection :
La cuisse est raccourcie, volumineuse, déformée en crosse à sommet antéro-externe ; d’autant plus marquée que le trait siège plus haut.
La jambe et le pied sont en rotation externe.
Très rapidement un énorme gonflement déforme la cuisse
L’impotence est absolue
La mobilité anormale du foyer sera suffisamment perçue lors du déshabillage prudent du blessé.
Il importe de :
Rechercher une complication et de prévenir ou traiter le choc qui accompagne toujours la fracture, (due à la fracture et les lésions musculaires, la CAT : vois d’abord veineuse est primordiale)
D’immobiliser le membre
De demander un examen radiographique afin de préciser le type de la fracture : radiographie du bassin et du genou systématique).
Evolution :
La durée d’hospitalisation moyenne variable et dépend des lésions associées et des modalités thérapeutiques.
La consolidation survient habituellement en 3 à 4 mois mais 5 mois dans les fractures les plus complexes.
Les séquelles sont dans la majorité des cas réduites au minimum (raccourcissement modéré, diminution de la mobilité du genou)
Complications :
Choc :
Pratiquement constant, rechercher systématiquement par l’étude du pouls, TA, fréquence respiratoire, faciès,
Il impose une réanimation de principe par perfusion veineuse en même temps que sont fait les prélèvements pour les examens indispensables.
Il est lié au choc traumatique mais aussi à la déperdition sanguine entrainé par la fracture et la contusion des masses musculaires qui peut atteindre 1000 à 1500cc.
Lésions traumatiques associées :
La fracture peut être isolée : c’est le cas d’accident domestique
Complications locales :
Cutanée : 10 à 20% des fractures sont ouvertes, elle se fait rarement de dedans en dehors en raison de la masse musculaire.
Lésions vasculaires : l’A. Fémoral superficielle et l’A. poplité sont les plus souvent intéressées dans les zones réputées fixes (canal de HUNTER, et creux poplité)
rechercher systématiquement les signes d’ischémie aigue du membre :
douleur intense du pied non calmée pas l’immobilisation transitoire de la fracture.
Mouvements du pied et des orteils est impossible car le muscle est paralysé.
A l’inspection : pied et jambe pale.
A la palpation : pied froid, peau insensible en raison de l’anesthésie sensitive tactile qui accompagne l’ischémie avec disparition du pouls distaux (pédieux et tibiale antérieur)
Ce tableau clinique constitue une urgence chirurgicale, cette ischémie doit être traitée dans les 6 heurs car c’est le temps d’anoxie maxi que peut supporter un muscle, mais il faut s’acharner à établir la continuité vasculaire et traiter l’ischémie dans les 2 heurs car les nerfs privent d’oxygène plus long temps finissent par se paralyser, avrc risque d »installation de paralysé définitive.
CAT : écho doppler et artériographie en urgence.
Lésions nerveuses : rare, intéresse essentiellement le nerf sciatique ; redoutées surtout dans les fractures de jambe associé.
Lésions musculaires
Lésions traumatiques étagées :
Hanche :
Luxation associé de la hanche
Fracture du col du fémur
Genou : les lésions ligamentaires peuvent passer inaperçu (donc en per op tester la stabilité du genou).
Complication évolutives :
Embolie graisseuse : du a un retard apporté a la stabilisation du foyer.
Complication thromboembolique : malade mis aux traitements anticoagulants
Complication septiques : due
A l’ouverture du foyer lors du traumatisme
L’association d’un poly traumatisme
Nature du trait
Le retard apporté a la stabilisation
Modalités d’ostéosynthèse
Complications tardives :
Ostéite
Pandiaphysite
Pseudarthrose : due
A la complexité du trait
Modalité d’ostéosynthèse
Ouverture du foyer lors de l’accident
Cal vicieux
Fractures itératives
Traitement :
Traitement orthopédique : le traitement conservateur repose sur l’extension continue qui permet la réduction et l’immobilisation relative du foyer.
Avantage :
Absence d’ouverture cutanée
Absence de sepsis.
Inconvénients :
Complications thromboemboliques
Troubles du décubitus
Inconfort du patient
Nécessite une surveillance radiologique
Traitement chirurgical :
But :
Restitution d’une fonction normale du membre
Seule une ostéosynthèse rigide solide obtenue sans dépériostage peut atteindre ce résultat
Méthodes :
Ostéosynthèse par plaque vissé : elle résous la plus part des problèmes posés par la fracture du fémur : (assure l’alignement des fragments, et supprime les inconvénients de la rotation). Il ya deux reproche :
Nécessite un grand dépériostage.
Le risque septique est important
Enclouage centromédullaire :
L’introduction d’un clou suffisamment rigide aligne et empêche les mouvements de flexion si nuisible à la consolidation.
Le traitement est effectué sous amplificateur de brillance sur table orthopédique à foyer fermé.
Fixateur externe : employé dans les infections.
Généralités - Définition :
Généralités :
Témoignant d’un traumatisme toujours sévère, les fractures de la diaphyse fémorale ont acquis ces dernières années la réputation d’une certaine bénignité.
Le traitement chirurgical systématique permet le plus souvent une consolidation avec de bons axes et un minimum de séquelles.
La discussion porte essentiellement à présent sur les modalités du traitement chirurgical ; Les tenants de l’enclouage percutané avec alésage et les partisans de l’ostéosynthèse par plaque s’opposent.
Def : les fractures de la diaphyse fémorale siègent entre :
En haut la région du petit trochanter
En bas la région immédiatement supra condylienne située a 5cm de l’interligne articulaire du genou.
Facteurs étiologiques :
Fréquence : très forte atteinte des sujets à sexe masculin
Age : il s’agit d’une fracture du sujet jeune puisque la 1/2 des blessés ont moins de 30 ans et le 1/4 moins 20ans.
Circonstances : un traumatisme violent et appuyé est nécessaire pour entrainer une telle lésion ce qui explique la fréquence des lésions associées, il peut s’agir :
Accident de voiture,
Piéton fauché par une voiture,
Accident des deux roues
Accidents domestiques : plus fréquents chez les sujets âgés > 70 ans.
Arme à feu
Côté : dans les pays ou la circulation se fait à droite le côté gauche sans protection est le plus souvent lésé.
Anapath :
Trait simple : le plus fréquent
La fracture transversale ou oblique courte : (2/3 des cas)
Liée à un choc direct ou indirect par compression axiale réalisant une flexion forcée de la diaphyse fémorale.
Surtout chez l’homme et à la suite d’un AVP.
La fracture spiroïde : plus rare, due a un mécanisme indirect par torsion surtout chez le sujet âgé au squelette porotique. (siège distal + + +)
Fracture complexe : au trait de fracture peut s’associer
Soit une comminution mineure
Soit un 3ème fragment, il peut être :
Postéro interne : nécessite alors une reposition exacte sans dépériostage ou un comblement osseux pour le remplacer afin d’éviter une détérioration secondaire de l’ostéosynthèse.
Antéro-interne éxposé a la nécrose lors de l’ostéosynthèse par plaque vissé.
Fractures comminutives : caractérisées par une comminution + ou - étendue sur un segment fémoral.
Fractures bifocales : elles peuvent être
Simples
Complexes : le fragment intermédiaire est refondu
Multi-fragmentaires : d’étendue variable
Clinique : le dg clinique des fractures du fémur ne pose que peu de problème
Interrogatoire : précise :
Les circonstances de survenues de l’accident : recherche la violence du traumatisme
Le siège de la douleur
Le dg est évident dès la simple inspection :
La cuisse est raccourcie, volumineuse, déformée en crosse à sommet antéro-externe ; d’autant plus marquée que le trait siège plus haut.
La jambe et le pied sont en rotation externe.
Très rapidement un énorme gonflement déforme la cuisse
L’impotence est absolue
La mobilité anormale du foyer sera suffisamment perçue lors du déshabillage prudent du blessé.
Il importe de :
Rechercher une complication et de prévenir ou traiter le choc qui accompagne toujours la fracture, (due à la fracture et les lésions musculaires, la CAT : vois d’abord veineuse est primordiale)
D’immobiliser le membre
De demander un examen radiographique afin de préciser le type de la fracture : radiographie du bassin et du genou systématique).
Evolution :
La durée d’hospitalisation moyenne variable et dépend des lésions associées et des modalités thérapeutiques.
La consolidation survient habituellement en 3 à 4 mois mais 5 mois dans les fractures les plus complexes.
Les séquelles sont dans la majorité des cas réduites au minimum (raccourcissement modéré, diminution de la mobilité du genou)
Complications :
Choc :
Pratiquement constant, rechercher systématiquement par l’étude du pouls, TA, fréquence respiratoire, faciès,
Il impose une réanimation de principe par perfusion veineuse en même temps que sont fait les prélèvements pour les examens indispensables.
Il est lié au choc traumatique mais aussi à la déperdition sanguine entrainé par la fracture et la contusion des masses musculaires qui peut atteindre 1000 à 1500cc.
Lésions traumatiques associées :
La fracture peut être isolée : c’est le cas d’accident domestique
Complications locales :
Cutanée : 10 à 20% des fractures sont ouvertes, elle se fait rarement de dedans en dehors en raison de la masse musculaire.
Lésions vasculaires : l’A. Fémoral superficielle et l’A. poplité sont les plus souvent intéressées dans les zones réputées fixes (canal de HUNTER, et creux poplité)
rechercher systématiquement les signes d’ischémie aigue du membre :
douleur intense du pied non calmée pas l’immobilisation transitoire de la fracture.
Mouvements du pied et des orteils est impossible car le muscle est paralysé.
A l’inspection : pied et jambe pale.
A la palpation : pied froid, peau insensible en raison de l’anesthésie sensitive tactile qui accompagne l’ischémie avec disparition du pouls distaux (pédieux et tibiale antérieur)
Ce tableau clinique constitue une urgence chirurgicale, cette ischémie doit être traitée dans les 6 heurs car c’est le temps d’anoxie maxi que peut supporter un muscle, mais il faut s’acharner à établir la continuité vasculaire et traiter l’ischémie dans les 2 heurs car les nerfs privent d’oxygène plus long temps finissent par se paralyser, avrc risque d »installation de paralysé définitive.
CAT : écho doppler et artériographie en urgence.
Lésions nerveuses : rare, intéresse essentiellement le nerf sciatique ; redoutées surtout dans les fractures de jambe associé.
Lésions musculaires
Lésions traumatiques étagées :
Hanche :
Luxation associé de la hanche
Fracture du col du fémur
Genou : les lésions ligamentaires peuvent passer inaperçu (donc en per op tester la stabilité du genou).
Complication évolutives :
Embolie graisseuse : du a un retard apporté a la stabilisation du foyer.
Complication thromboembolique : malade mis aux traitements anticoagulants
Complication septiques : due
A l’ouverture du foyer lors du traumatisme
L’association d’un poly traumatisme
Nature du trait
Le retard apporté a la stabilisation
Modalités d’ostéosynthèse
Complications tardives :
Ostéite
Pandiaphysite
Pseudarthrose : due
A la complexité du trait
Modalité d’ostéosynthèse
Ouverture du foyer lors de l’accident
Cal vicieux
Fractures itératives
Traitement :
Traitement orthopédique : le traitement conservateur repose sur l’extension continue qui permet la réduction et l’immobilisation relative du foyer.
Avantage :
Absence d’ouverture cutanée
Absence de sepsis.
Inconvénients :
Complications thromboemboliques
Troubles du décubitus
Inconfort du patient
Nécessite une surveillance radiologique
Traitement chirurgical :
But :
Restitution d’une fonction normale du membre
Seule une ostéosynthèse rigide solide obtenue sans dépériostage peut atteindre ce résultat
Méthodes :
Ostéosynthèse par plaque vissé : elle résous la plus part des problèmes posés par la fracture du fémur : (assure l’alignement des fragments, et supprime les inconvénients de la rotation). Il ya deux reproche :
Nécessite un grand dépériostage.
Le risque septique est important
Enclouage centromédullaire :
L’introduction d’un clou suffisamment rigide aligne et empêche les mouvements de flexion si nuisible à la consolidation.
Le traitement est effectué sous amplificateur de brillance sur table orthopédique à foyer fermé.
Fixateur externe : employé dans les infections.
Sauvez/protéger son couple , annulé une rupture/séparation
RépondreSupprimerBonsoir a tous
Je me présente Lucette FERRES,
J'avais des problèmes de couple avec mon mari car je n'arrivais pas a faire d'enfants après 16 ans de vie
commune avec mon homme et il m'a laissé et a demandé le divorce .Un soir sur le net j'ai vu les
coordonnées de ce Mr que je vais vous présenté par la suite qui m'a rapidement faire revenir mon
homme et avec ces médicament traditionnels j'ai maintenant 2 merveilleuses filles et un garçon avec
mon homme .
Cet homme grâce auquel ma vie a repris son sens s'appel Maître Gbedekpogbe Médium, Voyant, ...
sérieux, il vous aide à résoudre tous les problèmes auxquels vous ne trouvez pas de solution.
Remarquable spécialiste du retour de lêtre aimé, il vous fait revenir définitivement lélu de votre cur
Domaine de L'amour Sentimental :
Le Retour Affectif - Le Retour D'Affection
Amour Perdu , Récupérer son Ex - lÊtre Aimé - lÂme Sur , Se faire Aimé d'une Personne , Attirer une
Personne (Homme/Femme) par un Sortilège d'amour ou Sort ,
L'Envoûtement Amoureux/, Blocages Sentiments Amoureux Perdu , Sauvez/Protéger Son Couple ,
Annulé une Rupture/Séparation ,
Éloignement Rivalité/Jalousie ; Fidélité.
Je vous laisse son contact:
mail: maraboutpuissant2014@outlook.fr